‘Nouveau et mieux’, telle est notre conclusion pour cette Andes V3 Drystar. Successeur de la V2, cette veste est aussi une veste textile intelligente qui présente de nombreux atouts. Polyvalente, flexible, facile, sont les termes principaux qui nous viennent à l’esprit quand l’on saisit cette Andes V3 Drystar entre les mains.
Étanche, elle s’adapte à tous les temps et plaira à quiconque prend la route au quotidien. Alpinestars – marque de course, par tradition – se plaît à traduire ses connaissances et son savoir-faire par une collection tourisme de haut niveau, et cela se voit.
Pour être clair : l’Andes V3 s’apparente étroitement à son prédécesseur. L’innovation la plus flagrante de l’Andes V3 réside dans son Tech-Air® 5. Et dans les adaptations du système DVS (Direct Ventilation System). Il va de soi qu’elle a conservé pas mal de choses aussi. Ce qui était bon l’est toujours, ce qui pouvait être amélioré l’a été, tel est l’objectif.
Quoi qu’il en soit, avec l’Andes V3 Drystar, vous possédez une veste textile ‘intelligente’ que vous porterez tout au long de l’année. Sa longueur trois quart est typique de la coupe touring, tout comme le fait que l’arrière soit un peu plus long que l’avant. Sa membrane Drystar, respirante et étanche, intégrée dans la couche externe, vous garantit d’être sec quand vous arriverez chez vous. Complétée d’une doublure thermique amovible, seule une météo exécrable pourrait donner à réfléchir. Le nouveau DVS – tirettes sous les aisselles complétées de poches de poitrine spacieuses, doublées de panneaux de ventilation – sont réellement efficaces.
Ce qui nous amène à l’espace de rangement, qui, outre les deux poches de poitrine munies de fermetures-éclairs, se présente sous forme de deux grandes poches (Velcro), d’une autre pochette dans le bas du dos et d’une série de poches intérieures. Le choix est large, nous semble-t-il. Nombreuses de ces poches seraient étanches, quoique nous n’oserions pas – en tant que motards avertis – jurer de leur étanchéité absolue en toutes circonstances.
Il va de soi que tout cela peut -non, doit – être parfait. Bien qu’une veste de tourisme ne soit pas une veste de course, elle se doit d’être bien ajustée. Pour ce faire, Alpinestars adopte un tableau des tailles quadruple (seulement pour la veste) et ne laisse rien au hasard. Évidemment, un corps n’est pas l’autre, c’est pourquoi vous disposez également de diverses possibilités d’ajustement individuelles. Selon les Italiens, une sangle de chaque côté pour la cintrer devrait suffire, c’est pourquoi ils ont laissé tomber la deuxième (qui se trouvait sur la V2). Une sangle Velcro munie d’une boucle sous les bras, un bouton-pression sur la partie supérieure du bras et un cordon dans le bas s’y trouvent toujours, tout comme le col (Velcro) et les poignets (Velcro) peuvent être adaptés. Tout pour que les mots ‘ça ne va pas’ ne puissent être une option.
Le matériel de protection s’y trouve sous la forme de protections d’épaules et de coudes de type Nucleon Flex Plus. Celles-ci sont, bien entendu, homologuées CE, et surtout, elles sont minces et flexibles. Soit : ne gênent en aucun cas. Les protections dorsale et de torse sont de type Nucleon Flex Pro Ci (protection de torse) et Nucleon Plasma (protection dorsale), homologuée niveau 2, ou Nucleon KR-CELLi (protection dorsale), homologuée niveau 1, et sont optionnelles.
Les éléments réfléchissants sont discrets mais bien présents et assurent une bonne visibilité dans des circonstances difficiles. Alpinestars a conservé le deuxième cordon sur la fermeture-éclair centrale ainsi que tous les détails qui font de l’Andes V3 Drystar une veste de tourisme polyvalente, de qualité : une douce encolure 3D, un ‘collar-hook’ et une tirette de connexion.
Il y a vêtements d’entretien et entretien de vêtements. Un tel équipement de moto représente certes un investissement au niveau confort et sécurité. Investissez dès lors aussi dans son entretien et profitez plus longtemps de vos vêtements.
Vous retrouverez les meilleures astuces & conseils sur cette page d’entretien.
