La doublure est bien chaude lorsque vous insérez votre main, mais ils sont aussi amplement ventilés. En quelque sorte rebelles ; voilà un mot clé pour décrire les gants moto Tobago. Avec un design remarquable qu’on sait définir comme « camouflage chic » (oui, cela existe), ces gants d’été ne manquent pas de nous surprendre.
La doublure agréable (100 % mesh de fibres REPREVE® recyclées) suggère que vous continuerez à utiliser les gants moto après les mois d’été. Et que vous les sortirez de l’armoire plus tôt. Bien que les Tobagos soient polyvalents, il ne faut pas non plus s’attendre à ce que de tels gants moto composés principalement de mesh 3D soient imperméables. Heureusement le Spandex, l’Amara et la paume en cuir de chèvre inspirent suffisamment de confiance sans devoir vous préoccuper de quelques éclaboussures.
La combinaison des matériaux marche à merveille et même ceux qui ne sont pas un grand fan de tout ce qui tend vers le camouflage, peuvent quand-même considérer les Tobagos. Ils sont juste assez discrets pour passer inaperçus et les autres qualités des Tobagos se chargent du reste.
Le matériau de protection le plus marquant est la protection d’articulations. Toutefois, le rôle le plus important est probablement réservé aux renforts de la paume. Ensemble, ils inspirent confiance. Avec le bout du doigt conducteur, vous savez contrôler tous vos écrans tactiles et votre smartphone sans difficultés.
Les Tobagos sont des gants d’été avec une adhérence suffisante. La manchette légèrement plus longue s’étend jusqu’au poignet, ce qui est tout à fait approprié. La bande Velcro maintient le tout en place. Oh, et pour ceux qui ont pensé à Trinidad à cause du nom de ces gants moto : vous n’êtes pas seul.
l y a vêtements d’entretien et entretien de vêtements. Un tel équipement de moto représente certes un investissement au niveau confort et sécurité. Investissez dès lors aussi dans son entretien et profitez plus longtemps de vos vêtements.
Vous retrouverez les meilleures astuces & conseils sur cette page d’entretien.
